Les trois « I » ou les trois mystiques
J’ai été surpris de la manière dont les français manient les trois « B » à savoir «
L’intuition est un éclair très bref, il nous aide à choisir dans la jungle du libre arbitre. La valeur de l’intuition est présentée dans une scène du récit de Christian Rosenckreuz ou celui-ci doit choisir son chemin parmi quatre chemins , l’intuition c’est ce qui donne la route à un moment précis.
L’inspiration est plus constante, nous en trouvons de nombreux exemples parmi les musiciens, les poètes, les écrivains, l’inspiration s’applique a un domaine précis, mais auparavant l’individu doit avoir fait un travail important, cela ne vient pas seul, même si mon ami B ne va pas être content.
Enfin, nous trouvons en troisiéme lieu l’Illumination dont il est difficile de parler, l’individu se trouve en face de connaissances qui lui étaient complètement étrangères. Nous pouvons citer quelques exemples. Le philosophe Rudolf Steiner a enseigner l’agriculteur lui qui n’avait jamais étudié l’agriculture, il a donné le nom de biodynamique a sa méthode. Jacob Boehme le mystique du XVII éme siècle se mit à, parler plusieurs langues sans en avoir appris aucune. Potentiellement la personne illuminée peut avoir accès à tout mais sa personnalité, ses connaissances ultérieures le limitent quand même.
Imaginons une personne illuminé, mon ami B par exemple pourra-t-il comprendre la physique quantique ?, même si cela est potentiellement disponible. Pour répondre à mon ami B, cela dépend aussi des goûts.
Nous devons pour la survie du monde nous intéresser aux trois I et laisser les trois B à leur juste place.